Wednesday, December 25, 2013

ethnic and spiritual cleansing in hisory, the biblical records

deuterenomy 20, 17-18,joshua 10, 28-42 how to interpret this passage of total annihilation and slaughtering  similar to the holocaust . borderline ethnic  and spiritual cleansing ?

quote : u shall annihilate them all, Hittites,amirites, Canaanites, perizzites, hivutes, jebusites, as the lord ur god has commanded.... Destroyed all that breethed, every single inhabitant eradicated

Monday, December 09, 2013

when the saints go marching in and when the alpha comes back in, Authers on drones vs active management .

Correlation is down , beta is down and alpha is up!!!  Really , GOOGLE , YHOO, FB, AAPL are the winners of this printing consumerist , monopolitisc , patent right infrinngment market ?

Financial Times ‎- 1 day ago
By John Authers ... Meanwhile, active managers – whether working for regulated groups or for hedge funds – have not helped their cause b

Spain's real estate crisis in Ciudad Real ghost airport

RETAIL REAL ESTATE IN INTERNET AGE

Exclusive interview to Higgs the Boson

http://www.letemps.ch/Facet/print/Uuid/16329da4-603f-11e3-9509-7d405bb27b86/Ma_vie_pour_un_boson
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/91a5e1c2-603e-11e3-9509-7d405bb27b86/Le_boson_de_Higgs_en_bande_dessin%C3%A9e#.UqXotvRDvX8

Le boson de Higgs en bande dessinée

PAR O. D.
Comment les particules acquièrent leur masse
En 1993, le ministre britannique des sciences, William Waldegrave, lance un défi: une bouteille de champagne à celui qui explique, sur une page A4, ce que sont le champ et le boson de Higgs. L’un des gagnants fut David Miller, du University College de Londres. Son scénario: lors d’une réception, les invités remplissent une salle uniformément, comme le champ de Higgs emplit tout l’espace.
Entre une célébrité – tel Einstein –, symbolisant une particule. Au fur et à mesure qu’elle avance, les gens s’agglutinent autour d’elle, avant de rejoindre leur poste d’origine. La célébrité acquiert en quelque sorte une masse plus grande.
De même, chaque particule acquiert sa masse propre lorsqu’elle se trouve dans le champ de Higgs et interagit avec lui. Considérons maintenant une rumeur que quelqu’un répand.
Les invités se rapprochent pour l’entendre et propager les ragots.
Comme l’information est portée par un amas de personnes, et comme c’est ce même phénomène d’agglutination qui a attribué sa masse supplémentaire à Einstein, la grappe de gens portant la rumeur représente elle aussi une certaine masse. Les physiciens imaginent le boson de Higgs comme une telle grappe dans le champ de Higgs: une particule virtuelle qui est le vecteur, comme la rumeur, de ce qui explique la masse.


Ma vie pour un boson

PAR OLIVIER DESSIBOURG ENVOYÉ SPÉCIAL À ÉDIMBOURG
Le célèbre théoricien britannique Peter Higgs, père du fameux «boson de Higgs», reçoit mardi à Stockholm, avec son homologue belge François Englert, le Prix Nobel de physique, 49 ans après sa découverte qui a révolutionné l’histoire de notre compréhension de la matière et de l’Univers. Modeste et humble, l’homme de sciences de 84 ans vivant à Edimbourg a accordé au «Temps» l’une de ses très rares interviews (avec galerie photos)
Depuis son coin où l’aveugle ce soleil nordique de la mi-novembre, le buste en marbre de Lord Kelvin, qui a donné son nom à cette prestigieuse pièce de la Société royale d’Edimbourg, observe la scène. Tout comme, du haut de sa toile, un autre ténor de la science, James Clerk Maxwell, père de l’électromagnétisme. Une pile de lettres se dédouble sur l’immense table en bois noble et miroitant. Parmi celles-ci, imprimé, «un courriel de François Englert: il demande si vous seriez d’accord, Peter, de faire le discours au banquet des Nobel, le 10 décembre?» lance Alan Walker. Le professeur de physique à l’Université d’Edimbourg a été amené à contenir le tourbillon médiatico-populaire qui s’est abattu sur son acolyte physicien, Peter Higgs, «inventeur» de cette fameuse particule nommée «boson de Higgs». «Il a dû penser que ce serait mieux que ce soit moi parce que je suis anglophone», répond l’intéressé, sourire en coin. «Mais l’intervention devra durer deux minutes…» nargue Alan Walker; 120 secondes pour narrer l’une des aventures scientifiques les plus fantastiques et complexes de ces cinquante dernières années.
Avec son homologue belge François Englert, le célèbre théoricien britannique recevra donc mardi à Stockholm les plus estimables lauriers scientifiques. Depuis l’annonce des lauréats, le 8 octobre, le vieil homme de 84 ans est submergé de sollicitations. Des plus pompeuses, qui le nomment membre d’honneur ici ou là, aux plus insolentes, «tel ce physicien qui lui demande de relire son travail, l’améliorer, le faire publier, puis de le recommander pour le Prix Nobel!» cite Alan Walker. En passant par des idées sérieuses, avec ce projet de «Higgs Center» à Edimbourg; seule une petite aile duNational Museum est actuellement consacrée au modeste et discret savant.
Car les projecteurs, les journalistes et l’exubérance de la notoriété, Peter Higgs les fuit poliment depuis toujours. De son parcours de vie jalonné de crises d’asthme, il raconte avoir failli devenir ingénieur en électricité, comme son père employé à la BBC, avant de réaliser qu’il était maladroit de ses mains. Et de choisir alors la science théorique. Pourquoi la physique plutôt que la chimie ou les maths? Parce que, trouvant l’enseignement scolaire peu inspirant, il pouvait apprendre plus de choses par lui-même dans les livres de cette branche. Des lectures stimulées par le fait que l’un des élèves de son école, mais 25 ans plus tôt, était devenu une figure majeure de la physique: Paul Dirac.
Et le voilà lui aussi en peinture sur les murs de la «Kelvin Room», pour l’éternité. Ce qu’ont d’ailleurs semblé durer les cinq matinées durant lesquelles il a dû poser pour ce portrait, blague-t-il. Dehors, les cloches de midi lui rappellent qu’il doit déjeuner avec l’auteur de cette toile, l’artiste écossaise Victoria Crowe. Mais avant, deux heures durant, pour une de ses très rares interviews, Peter Higgs s’est confié pour la troisième fois au Temps .
Le Temps: Avez-vous récupéré de votre «nobelitis», cette maladie imaginée par le physicien Sheldon Glashow, caractérisée par des trépignements peu avant l’annonce des Prix Nobel chaque année, et dont vous avez dit être affecté?
Peter Higgs: (Rires) Oui, et cette année, elle a été particulièrement virulente depuis le mois de mars et la confirmation que la particule découverte à l’été 2012 était bien celle que l’on cherchait…
– Comment vous sentez-vous aujourd’hui, deux mois après l’annonce du Comité Nobel, et le tumulte qui a suivi?
– Je m’habitue à l’idée, et j’espère que dès janvier, ma vie redeviendra plus normale, avec moins de sollicitations – même si j’en doute.
– Comment avez-vous appris la nouvelle, puisque le Comité Nobel n’a pu vous atteindre pour vous l’annoncer lui-même?
– Ce 8 octobre dernier, j’étais allé dans la zone portuaire de Leith, pour diverses affaires, puis dans un pub où ils servent de bons repas et de l’excellente bière. Après le lunch, j’ai pensé qu’une foule de journalistes attendaient peut-être devant chez moi et qu’il était trop tôt pour rentrer. Je suis donc allé voir une exposition d’art. Au retour, tard dans ma rue, une voiture s’est arrêtée, une femme dans la septantaine en est sortie et, très excitée, m’a félicité, à mon étonnement. A ce moment précis, ma fille m’appelle pour m’annoncer la nouvelle. Chez moi, il ne restait qu’un photographe du Scotsman. Mais je lui ai dit que j’étais pressé: je voulais écouter les messages sur mon répondeur.
– En 2007, vous m’aviez dit que vous seriez triste si l’on ne découvrait pas cette particule qui porte votre nom. En avez-vous vraiment douté?
– Peu. J’ai souvent dit que si ce boson n’existait pas, cela signifierait que la structure théorique établie pour décrire la matière et le fonctionnement de l’Univers, le Modèle standard, qui semble pourtant bien fonctionner, serait un non-sens; le boson de Higgs est en effet la signature du mécanisme par lequel toutes les autres particules acquièrent leur masse propre. Imaginer le contraire de cette théorie était donc très difficile.
– Comment en êtes-vous venu à postuler cette particule?
– Après mes études au King’s College de Londres, arrivé à l’Université d’Edimbourg, j’étais un peu perdu dans mon cursus. Je me suis intéressé aux travaux des physiciens japonais Yoichiro Nambu et anglais Jeffrey Goldstone. Le premier travaillait sur les supraconducteurs [ces matériaux qui conduisent l’électricité sans résistance, ndlr]. Il a découvert alors les «brisures spontanées de symétrie»…
– … et remporté pour cela le Nobel en 2008. Pour expliquer ce concept, vous utilisez souvent l’image d’un bol en forme de sombrero mexicain, qui est d’ailleurs représenté avec vous sur la toile de votre portrait.
– L’idée est la suivante: si vous placez une bille au fond d’un bol normal, elle se retrouve alors dans son état d’énergie minimale, ne pouvant glisser plus bas. Faites alors tourner le bol: peu importe l’angle de rotation, l’ensemble reste symétrique par rapport à la position originelle du bol.
Prenez maintenant un bol avec un renflement au centre, comme un culot de bouteille. Placez la bille en équilibre au sommet de ce culot, elle n’est alors pas à son état d’énergie minimale puisqu’elle peut glisser sur le flanc du culot. Si vous tournez un peu le bol: certes rien ne change, comme ci-dessus. Par contre, si vous placez la bille dans son état d’énergie minimale, c’est-à-dire quelque part dans le canal circulaire créé par le culot central et la paroi du bol (elle ne peut glisser plus bas), et que vous tournez un peu ce «bol mexicain», la symétrie ne sera plus respectée par rapport à la position originelle du bol. Pourtant, sans la bille, le bol lui-même est symétrique.
– On comprend qu’il y a, en quelque sorte, une conséquence sur la position de la bille impliquée par la forme du bol qui, lui, ne change pas. On parle alors d’un effet de «brisure de symétrie spontanée» dès qu’il y a une bille dans le bol.
– En quelque sorte. Et Nambu a postulé que le vide qui nous entoure [et correspond à l’état fondamental] serait, comme le bol mexicain, empreint d’une telle brisure de symétrie.
– Une idée très abstraite à saisir.
– De son côté, Goldstone travaillait sur la «théorie quantique des champs». [Celle-ci considère les particules subatomiques comme des émanations ou fluctuations quantiques d’un champ sous-jacent, un peu comme un flocon soulevé par le vent serait l’émanation d’un champ de neige.] Gold­stone a alors publié un théorème crucial, qui dit en gros: si l’on considère une théorie quantique des champs de manière relativiste, sous certaines conditions, soit le vide est bel et bien symétrique, soit il ne l’est pas – la symétrie est brisée, comme l’affirme Nambu. Mais alors le vide devrait générer des particules sans masse et de «spin» 0 [une caractéristique décrivant les particules]! Or c’est là que le bât blesse: si de telles particules existaient, elles auraient dû être détectées facilement en quantité à ce jour. Mais ce n’a pas été le cas…
– Il y a donc là un paradoxe. Quel lien avec le boson de Higgs?
– J’étudiais aussi l’électrodynamique quantique [une théorie qui avait pour but de concilier l’électromagnétisme classique de Maxwell avec la mécanique quantique]. C’était la seule réelle théorie à succès à l’époque. C’est en me promenant dans le parc montagneux des Cairngorms, dans les Highlands, que, dans ma tête, j’ai combiné des éléments de ces deux théories. J’ai alors trouvé une voie de sortie pour le paradoxe du théorème de Goldstone. Cela m’a permis de postuler, à l’aide de ce concept de brisure de symétrie, ce qui allait devenir le «mécanisme de Brout-Englert-Higgs»: tout l’espace qui nous entoure est empli d’un champ quantique, appelé champ de Higgs, qui permet à chaque particule d’acquérir une masse lorsqu’elle interagit avec lui. Et comme dans la théorie quantique des champs, il devait émaner de ce champ une particule [le fameux boson]. Mais, selon mes calculs, celle-ci devait cette fois être massive. Pouvoir l’observer revenait donc à valider toute l’idée.
– De nombreuses métaphores ont été proposées pour expliquer ce mécanisme très complexe que – dit-on – seules quelques dizaines de scientifiques parviennent à décrire en détail. Une préférence?
– Une métaphore que je n’aime pas consiste à dire que la masse des particules est d’autant plus grande que celles-ci sont freinées dans le champ de Higgs à la manière d’une cuiller plus ou moins grosse qu’on traîne dans un pot de mélasse. Car cette description-là implique une dissipation d’énergie, ce qui n’est pas le cas dans le mécanisme de Brout-Englert-Higgs. Pour moi, l’explication la plus acceptable est celle d’une célébrité (symbolisant une particule) entrant dans une pièce remplie d’invités (imageant le champ de Higgs) qui l’accostent (voir ci-dessous): même si sa vitesse de marche n’est pas réduite, elle zigzague, si bien qu’elle ne traverse pas la pièce aussi vite que si elle était vide. Sa progression est d’autant plus freinée qu’elle interagit avec l’assistance. Tout comme une particule devient d’autant plus massive qu’elle interagit avec le champ de Higgs.
– Si c’est ce mécanisme, «matérialisé» par le «boson de Higgs», qui est censé donner leur masse aux autres particules, qu’est-ce qui donne sa masse… au boson de Higgs?
– Le mécanisme de Higgs, à travers la brisure spontanée de symétrie, n’est pas la seule manière de générer la masse, comme on omet souvent de le dire. C’en est plutôt le point de départ. Le 99,9% de la masse des particules non élémentaires comme les protons ou les neutrons vient de la force nucléaire forte, qui tient leurs constituants (les quarks) ensemble.
– Le boson de Higgs a été appelé «particule de Dieu» par un autre Prix Nobel de physique, Leon Lederman. Une expression que vous n’aimez pas. Mais au moins celle-ci a-t-elle attisé la curiosité vers ce domaine austère et ardu?
– Je ne suis pas croyant. Mais j’accepte que des gens peuvent sincèrement combiner leur foi avec une démarche de compréhension de la science. Ce qui m’inquiète, c’est que cette expression puisse créer de la confusion entre deux mondes intellectuels distincts: la physique et la théologie. Cela même si je reconnais que, par le passé, une partie des motivations pour expliquer les croyances religieuses étaient celles qui, aujourd’hui, sous-tendent l’exploration de questions fondamentales en science.
– Revenons à votre théorie, postulée en 1964: vous alliez contre les idées reçues. Etait-ce difficile?
– Je trouvais que les idées de Nambu et Goldstone méritaient d’être creusées, c’est pourquoi j’ai insisté. J’ai envoyé un article décrivant mon mécanisme à la revue Physics Letters, dont les responsables étaient au CERN. Or ceux-ci l’ont refusé; je me suis dit qu’ils ne m’avaient pas compris, et qu’ils devaient me prendre pour un plouc. Ils me demandaient de développer mes idées en me référant aux travaux de deux autres physiciens, à l’Université libre de Belgique, François Englert etRobert Brout [décédé en 2011], qui venaient de les publier. A l’époque, il y avait aussi un troisième groupe qui travaillait sur ce sujet, à l’Imperial College de Londres. Mais aucun de nous ne savait ce que faisaient vraiment les autres. C’est pourquoi, d’ailleurs, je n’ai rencontré François Englert qu’en juillet 2012, au CERN, lors de l’annonce de la découverte du boson. Finalement, j’ai soumis une version augmentée de mon article à la revue américaine Physical Review Letters, en ajoutant comme note, en deux lignes, l’existence possible d’une particule associée au champ de Higgs.
– C’est ce qui explique entre autres pourquoi votre nom est resté, plus que ceux de feu Brout et Englert, aussi «nobélisés». Cela dit, les gens du CERN se sont bien «rattrapés» en permettant la découverte du boson de Higgs…
– En 2012, la confirmation que les gens qui avaient construit l’accélérateur LHC et les détecteurs savaient ce qu’ils faisaient fut totale. Et aussi que la manière européenne de financer le projet – plusieurs pays assurant le budget du CERN – était gage de succès. A l’inverse de ce qui s’est passé aux Etats-Unis, avec l’interruption en 1993, à cause de problèmes budgétaires, du projet d’accélérateur géant SSC. L’été passé, l’annonce m’a tout de même surpris; je ne l’attendais pas aussi rapidement.
 Ce 4 juillet 2012, on évoquait «une particule ressemblant au boson de Higgs», car il restait des caractéristiques à préciser. L’affirmation plus définitive est venue en mars 2013. Pourtant, certains physiciens se sont dits déçus, voire déprimés, tant ils espéraient avoir découvert autre chose d’inattendu, qui ouvrirait la porte sur des champs d’exploration inédits. Les comprenez-vous?
– Cette réaction me semble curieuse. Et ce cas de figure aurait constitué un défi immense pour les théoriciens, car toutes les théories actuelles seraient tombées en ruine. En ce qui me concerne, je suis plutôt content (rires). Ce qui me déçoit un peu, c’est vrai, c’est que la découverte de ce boson ne s’accompagne d’aucune trace de piste permettant d’élaborer plus encore le Modèle standard, de fil à tirer pour réfléchir plus loin.
– Avec la masse du boson qu’on a trouvée (125 GeV, comme l’expriment les physiciens), d’aucuns affirment que l’Univers est instable, et qu’il pourrait théoriquement se désintégrer en un clin d’œil…
– Oh? C’est là une théorie nouvelle pour moi.
– Qu’attendez-vous de la relance du LHC en 2015, avec une énergie deux fois plus grande que jusque-là?
– Qu’on découvre peut-être d’autres bosons; la version la plus simple de la théorie de la supersymétrie, ou SUSY [qui prédit pour chaque particule l’existence d’une superparticule «miroir» beaucoup plus lourde] indique qu’il pourrait en exister cinq. Je suis fan de cette théorie. Mon enthousiasme est basé sur le fait que la SUSY pourrait englober la gravité. Car actuellement la gravité – dont chacun peut mesurer les effets – n’est pas incluse dans le Modèle standard, ce qui constitue tout de même un problème… De plus, le LHC, dès 2015, pourrait fournir des premiers indices concernant la composition de la matière sombre, cette entité dont la nature est inconnue mais qui emplit une partie de l’Univers.
– Et l’existence de dimensions additionnelles? D’univers parallèles?
– Je suis agnostique sur ce sujet.
– Vous évoquez entre les lignes cette «théorie du tout», qui engloberait toutes les lois physiques. Est-ce sensé d’espérer la trouver un jour?
– Cette idée est apparue dans les années 1960. Aujourd’hui, la théorie qui serait la plus à même de la concrétiser est celle dite des «supercordes» [dont l’idée de base est de modéliser les forces et particules de la nature comme les vibrations de minuscules cordes supersymétriques]. Est-ce là une étape nécessaire, ou suffisante? Je ne sais pas. Mais cela donne du grain à moudre aux théoriciens. Par contre, cette théorie contient aussi un hic: elle postule l’existence de beaucoup trop de solutions pour des types d’Univers très différents de celui dans lequel on vit. Au lieu d’en voir «sortir» simplement ce qu’on recherche: une manière d’unifier tout ce qu’on connaît dans l’Univers qu’on connaît.
– Einstein a dit que «le plus incompréhensible dans l’Univers, c’est qu’il soit compréhensible». Et Platon déjà affirmait que «le monde est compréhensible parce qu’il a une structure»; la découverte du boson de Higgs le prouve une nouvelle fois. Cependant, d’autres physiciens célèbres, de Lord Kelvin à Max Born, ont aussi dit, un peu vite, que, en leur temps, tout avait été découvert en physique. Comment expliquer cette façon de voir un peu bornée?
– Cela me rappelle la citation du physicien Philip W. Anderson: «Quand les gens parlent de théories du tout, ils ont une vue assez restrictive de ce que «tout» veut dire» (rires). Il reste énormément de choses à découvrir en physique, tant sont nombreuses les notions inconnues dont on ne soupçonne même pas encore l’existence.
– Les physiciens auront-ils toujours les moyens pour mener ces recherches fondamentales?
– Il y a certes des difficultés chez certains politiciens à reconnaître qu’il existe des liens évidents entre les sciences fondamentales, considérées comme peu importantes pour l’économie, et les technologies applicables. Or le nier découle d’une vision à très court terme.
– On parle déjà des accélérateurs du futur, dont certains seront linéaires, et non circulaires comme le LHC. Or, si ce dernier avait en point de mire la traque du boson de Higgs, les premiers devront être présentés aux décideurs comme des machines à arpenter l’inconnu. Vu leur énorme coût, la démarche ne sera pas évidente…
– La décision de se lancer dans la construction d’un nouvel accélérateur se précisera en fonction de ce que l’on découvrira avec le LHC à pleine énergie, dès 2015. Si l’on entrevoit des particules supersymétriques, l’intérêt sera attisé. D’aucuns disent qu’il faut des machines plus puissantes pour mieux étudier le boson. Les Chinois se disent prêts à construire une «usine à Higgs», un accélérateur circulaire de 100 km, sept fois plus puissant que le LHC. S’ils le font, cela réduira, sur les autres nations, la pression du choix quant au type de machine du futur, et les incitera peut-être à s’unir pour construire un accélérateur linéaire, probablement au Japon. Reste à savoir ce qu’il adviendra du CERN… Quoi qu’il en soit, je souhaite bon vent aux physiciens dans leur quête visant à saisir les infinis détails du monde qui nous entoure.
– Et à vous, que vous souhaiter?
– Well… de bien passer le Nouvel An (rires). Mais aussi de vivre dans un monde de plus en plus pacifié.


investment funds in Switzerland : no man's land

http://app.letemps.ch/Page/Uuid/f5d421d6-602f-11e3-9509-7d405bb27b86/Une_%C3%A9tonnante_absence_de_statut

La prestation de services financiers devient de plus en plus exigeante. La demande des clients ne se limite plus à la simple gestion de patrimoine mais englobe des services de plus en plus divers et complexes. Les attentes des clients vis-à-vis de leurs conseillers évoluent. Souvent les clients recherchent un conseiller indépendant qui puisse les mettre en relation avec les spécialistes des différents domaines. Cette optique assure un degré de professionnalisme élevé dans chaque service tout en évitant le risque potentiel de conflits d’intérêts.
Dans ce nouveau modèle de prestation de services, les sociétés non bancaires prennent un rôle plus important. Ce conseil indépendant est souvent fourni dans le cadre de personnalités juridiques qui n’ont pourtant pas, pour l’instant, la reconnaissance prudentielle. Il s’agit de fondations, trusts, sociétés d’investissement et family offices. La Suisse a tout intérêt à donner un cadre adéquat à ce type de structures afin de répondre à l’évolution internationale et de rester compétitive aussi bien aux yeux des clients que des prestataires de services.
Même si la Suisse garde la première place pour la gestion de la fortune privée transfrontière (27%, contre UK et Iles anglo-normandes avec 25%) 1, la stagnation ou le léger recul récent de la position des places financières de Genève et Zurich dans la comparaison globale des professionnels de la finance (Global Financial Centres Index) 2 montre que l’on ne peut pas se reposer sur ses lauriers.
Tandis que les relations avec des personnes individuelles constituaient la norme dans le passé, les clients demandent aujourd’hui de plus en plus souvent une gestion globale des besoins, non pas d’une seule personne mais d’une famille ou d’un groupe d’individus poursuivant un projet commun. La gestion patrimoniale ne devient qu’une partie des services recherchés, qui peuvent englober la coordination du financement de projets, une entrée en bourse ou la coordination d’entreprises actives sur plusieurs continents.
Dans de telles situations, il est important pour les clients d’avoir accès aux prestataires spécialisés sur les services des différents domaines plutôt que d’être en relation avec un seul établissement. La possibilité de créer un réseau de spécialistes est plus importante que la présence d’un prestataire qui propose l’offre universelle. Afin de coordonner les prestataires individuels, des conseillers avec connaissance du marché et relations aux différents établissements bancaires sont indispensables. Tel est le rôle que peut jouer une société d’investissement comme un family office, une fondation ou un autre type de «special purpose vehicle» – la communauté de travail connue pour les projets de travaux publics peut sembler la structure qui se rapproche le plus de celle que recherchent ces clients.
Il ne reste plus qu’à conférer à ces sociétés d’investissement un statut de par la loi qui définit obligations et privilèges et notamment leur statut prudentiel. La loi sur les services financiers serait le cadre idéal pour définir le statut de ces sociétés. Elle pourrait définir des exigences adaptées à la taille et aux activités de ces sociétés. Celles-ci devraient comprendre entre autres des prescriptions en matière d’organisation et de procédures internes, des standards d’identification de la clientèle et de surveillance des transactions, l’obligation de dotation en fonds propres ou d’assurance et des standards de contrôle interne et d’audit externe. Aussi le statut fiscal des sociétés et des personnes sous-jacentes serait à déterminer.
La place financière suisse est dans une situation privilégiée pour offrir ce type de service intégré à sa clientèle internationale: deux des plus grandes banques du monde y ont leur siège et une grande partie des banques internationales sont présentes en Suisse par le biais de leurs succursales ou filiales – 140 banques étrangères au total. Ces banques offrent aux clients un accès direct à leur réseau global avec présence sur des marchés de niche ou exotiques aux yeux de certains. La possibilité d’avoir accès aux différentes économies du monde à partir d’une seule place financière est un atout considérable qui renforce la place financière suisse aux yeux de la clientèle internationale. La présence de nombreuses banques étrangères assure à la place financière suisse le statut de véritable place internationale.
Cette nouvelle offre répond à la fois à l’internationalisation et à la personnalisation des services financiers. Elle a ainsi le potentiel de satisfaire et de fidéliser une clientèle internationale qui augmente fortement.
*Secrétaire général adjoint, Association des banques étrangères en Suisse
1. PricewaterhouseCoopers, étude sur le private banking international, janvier 2013; après la Suisse, le Royaume-Uni et les Iles anglo-normandes figurent à la deuxième place avec 25% de la fortune.
2. Global Financial Centres Index: www.longfinance.net

a populist and revolutionary : Jesus according to Reza Aslan

Jesus – Populist und Revolutionär

Von Jürg Steiner. Aktualisiert am 08.12.2013 13 Kommentare
Jesus war ein politischer Mensch mit rebellischem Mut. Das gehe im weich gezeichneten christlichen Bild Jesu völlig unter, sagt der muslimische US-Soziologe Reza Aslan, dessen Jesus-Biografie auf Deutsch erscheint.

Saturday, December 07, 2013

Bloomberg legacy in NYC

http://www.ft.com/cms/s/2/1ad44e48-5cca-11e3-81bd-00144feabdc0.html


 In his 1997 business memoir, Bloomberg on Bloomberg, he wrote that “the Street promised vast riches” but that he had “read of few great fortunes having been made there”. He concluded: “Great financial success comes from starting businesses with concrete products in the real world, building jobs, creating value and helping people.”

But Mr Bloomberg’s war for young talent is being fought most relentlessly on the waterfront. It is getting greener and groovier by the minute as Mr Bloomberg hands over swaths of his sixth borough to joggers, bikers, boaters and plugged-in hipsters who do not care to drive (turning the work of the New York master-builder Robert Moses on its head in the process). In these environs, Mr Bloomberg’s New York is coming to feel more like a campus than a city – a sensation that will only grow in the years ahead

Tuesday, December 03, 2013

End of Mortage deductions in real estate industry , an historical outlook

http://www.ft.com/cms/s/0/20f61ca4-5b6a-11e3-848e-00144feabdc0.html#ixzz2mQrKQLnvThe obvious starting point is the UK, where three of the most sacred cows of the postwar political economy have been home ownership, rising house prices and veneration for first time buyers...From the borrowers’ perspective the value of the debt eroded and real interest rates remained negative as they waited for the value of the home to go back up.

Monday, December 02, 2013

end of tax breaks for London real estate

http://www.ft.com/cms/s/0/2f54b200-58cd-11e3-9798-00144feabdc0.html

tax benefits  for buy to let rentiers coming to an end with  new budget law. mortgage + dilapidation deductions and free capital gain tax with right moves on residence will be over


Friday, November 29, 2013

SAREB vende los mejores activos a un precio bajo para los fondos especulativos ( amigos del ministro Guindos?) mientras que los peores activos se quedan a precios ridículamente altos

http://www.hispanidad.com/Confidencial/guindos-contina-apoyando-a-la-contestada-presidenta-de-la-sareb-beln-20131016-159136.html

Walter de Luna, y otros ejecutivos, consideran que se están vendiendo los mejores activos -los menos malos- a fondos de inversión a precios de risa. Eso es lo fácil, piensan esos ejecutivos que en buena parte llegaron a la casa antes del nombramiento de Romana.
Y los consejeros, es decir, los bancos, algo parecido: se suponía que la banca debería contratar a los bancos cedentes para que vendieran inmuebles al menudeo, pues son los bancos los que han puesto parte del capital -ojo, muy poca parte- pero sobre todo los que tienen potencial de venta para colocar los pisos... y los que se llevarían la correspondiente comisión.
Por si fuera poco, el ambiente social no es bueno para la SAREB. Y si no, que se lo pregunten a los desahuciados de Salt (Girona), residentes en pisos de la SAREB y a los que el Tribunal de Luxemburgo podría mantener en sus viviendas. La decisión de los tribunales europeos podría dar un disgusto extra a Romana y sentar precedente, ahora que en Europa la estrella es la galardonada Stop Desahucios.
En cualquier caso, De Guindos sigue defendiendo la gestión de Romana.

SAREB borrows money to let the banks get rid of their toxic assets at an attractive price

http://www.elconfidencial.com/economia/2013-09-30/tension-en-la-cupula-de-la-sareb-por-las-diferencias-entre-romana-y-walter-de-luna_34452/
No en vano, además de una gran inmobiliaria, el 'banco malo' es también una gran financiera, ya que emitió 50.000 millones de deuda senior, que fueron entregados a las entidades rescatadas por el FROB como pago por la transferencia de sus activos tóxicos, un pasivo que obliga al pago de unos intereses que abonará con la caja generada con la venta de activos. Un plan a 15 años donde se quiere ganar dinero desde el primero. 

SAREB, the head of the largest real estate agency in Europe rescued by German public funds is a friend appointed by the Spanish ministry of economics Luis Gundos

http://www.elconfidencial.com/economia/2013-09-30/tension-en-la-cupula-de-la-sareb-por-las-diferencias-entre-romana-y-walter-de-luna_34452/
El diseño del Sareb por parte del FROB/Economía pasó por una mezcla de perfiles, con una presidencia más política, para alguien con experiencia en la Administración, como ocurre con Belén Romana, amiga personal del ministro de Economía, Luis de Guindos, y con una formación estrictamente financiera (fue directora general del Tesoro), y otro perfil profesional vinculado al sector inmobiliario, como el de Walter de Luna, que había desarrollado la última parte de su carrera como responsable de los fondos inmobiliarios del banco INGpara el mercado español. En definitiva, una especie de bicefalia, con un cerebro financiero y un brazo ejecutor inmobiliario que debían complementarse.....Al final, con todos los operadores del sector financiero pendientes del Sareb, convertida en la mayor gestora de activos inmobiliarios de Europa, el ....

No en vano, además de una gran inmobiliaria, el 'banco malo' es también una gran financiera, ya que emitió 50.000 millones de deuda senior, que fueron entregados a las entidades rescatadas por el FROB como pago por la transferencia de sus activos tóxicos, un pasivo que obliga al pago de unos intereses que abonará con la caja generada con la venta de activos. Un plan a 15 años donde se quiere ganar dinero desde el primero. 

THE IMF unveils the blatant conflict of interest between SAREB and Spanish Banks

http://economia.elpais.com/economia/2013/07/15/actualidad/1373888014_800935.html

No se le escapa al FMI los posibles conflictos de interés que supone que algunos bancos accionistas sean también compradores de los activos, con intereses contrapuestos. Recuerda que la Sareb tiene un código para resolver estos conflictos, que implica cierres de información a los interesados en decisiones clave. Sin embargo, le aconseja "una aplicación rigurosa de estas normas para mejorar la rentabilidad". Pide que esta situación "sea controlada  muy de cerca, incluyendo si es necesario seguir revisando los acuerdos de gobernanza".

Funnily , the forecast is  a set of data stemming  from a vertical hierarchy trying to shape the future according to their own views and vested business interests .  If  Spain had accepted a bail out such a conflict of interest would not exist, replacing  interconnected executives whith neutral ones from  outside.  A  lesson of market economy whith  discount prices improving the visibility and liquidity  of the economy

network economy/ the business case of Spanish real estate crisis, Claudio Boada of Blackstone and Mrs Belen Romana of Sareb


Pues bien, ahora, la ‘oposición’ tiene más motivos para quejarse. Cuando Romana abandona la Administración Pública, el presidente del Círculo de Empresarios, Claudio Boada (en la imagen), le ficha como secretaria general de la organización empresarial.
Ahora Boada es el responsable de capital riesgo y de inmobiliarias de Blackstone, y resulta que Blackstone negocia con la SAREB la venta de un importante paquete de activos inmobiliarios.   

UBS separation undergoing

UBS  asset management goes alone in  Switzerland to  improve  its  funding ratios.  The Swiss parliament refused  recently a new banking law to split investment  from private banking as in the UK
http://www.letemps.ch/Page/Uuid/91abe6a4-5395-11e3-9743-6970ad935056/La_Finma_pourrait_nous_accorder_un_rabais_de_fonds_propres#.Upif-sSUQcc

Wednesday, November 27, 2013

SAREB mafia

http://www.euribor.com.es/2013/08/07/sareb-o-la-inmobiliaria-que-no-quiere-vender/

sospecha y la de muchos otros, que día a día se está materializando, es que se les compró caro, para inyectar liquidez a cuenta del contribuyente. Por otra parte, con esta operación se hace el trabajo sucio a la banca sana o, más bien, menos enferma.

Friday, October 25, 2013

Khodorkovsky,a meteor

rights. http://www.ft.com/cms/s/2/a9adb49e-3c39-11e3-b85f-00144feab7de.html#ixzz2ijgZlkES
His fallout with Putin had many causes. Khodorkovsky dared to confront the president with a thinly veiled allegation of top-level corruption in a televised meeting in February 2003. He tried to build a private oil pipeline to China, contravening state policy. He engaged in aggressive lobbying against increases in oil taxes. He negotiated to sell a stake in Yukos to America’s ExxonMobil. He was simply too independent. He refused to take his place in the matrix of competing interests and clans, of state and private oligarchs, held in check not by rule of law but, as Russians say, po ponyatiyam, “by understandings” – with Putin as arbiter

Friday, October 04, 2013

Spanish Credit Crunch

Morgan Stanley Study on Real Estate, Spain 30 pc expensive but Belgium , France, UK and Switzerland even more

Bitcoins ft

New businesses such as Coinsetter, along with former Bitcoin trading firms such as Tradehill and Bitinstant, are struggling to find banks willing to work with them so that they can deal with customer accounts. The virtual currency, which runs on a global peer-to-peer computer network outside the traditonal banking system, was an obvious choice as a currency for trading on Silk Road because transactions are anonymous. Many early users of Bitcoin were attracted by the privacy. “I think these people may have rallied to Mr Ulbricht’s side,” said Mr Lukasiewicz, “but when you read about murderers for hire, that’s where you start to remember, this is why we have a government and laws.” A new wave of entrepreneurs believe Bitcoin has the potential to become a cheaper alternative to international bank transfers, and they are keen to make sure that money going into and out of the currency can be traced back to users. The US Treasury said it had no problem with virtual currencies as long as exchanges and other traders are regulated and can properly implement anti-money laundering checks on customers. Still, efforts to make Bitcoin a mainstream investment face an uphill battle without further regulatory clarity, including from US states, where many authorities are investigating the potential for illegal uses of the currency. A recent proposal by the Winklevoss twins to create an exchange-traded fund (ETF) that would replicate the price performance of Bitcoin, for instance, was met with intense scepticism. It is unclear what stance the US Securities and Exchange Commission will take on the currency, although another regulator, the Commodity Futures Trading Commission, has already been eyeing whether Bitcoin might fall under its own supervisory remit. Last week, SecondMarket, an exchange that came to prominence as a venue for trading shares in private companies such as Twitter, said it would offer a Bitcoin fund to wealthy investors. Barry Silbert, SecondMarket chief executive, described the closure of Silk Road as “the end of one chapter and the start of another” for the virtual currency. “Bitcoin’s acceptance by legitimate merchants is growing very fast and my view is the closure of Silk Road will not have a significant effect on the near-term or long-term future of Bitcoin.” A tumble in the price of the currency on Wednesday – from above $141 to as low as $109.7 at one point – after news of the indictment of Mr Ulbricht, had ended by midday on Thursday. But it will take some time to discover how much of the currency’s value has been related to its use in illegitimate trading. And not all the libertarian supporters of Bitcoin believe the new wave of entrepreneurs, or even the FBI for that matter, should be crowing. Roger Ver, founder of Bitcoinstore.com and an angel investor in Bitcoin start-ups, responded to a question about the closure of Silk Road by emailing an image: a screenshot of BlackMarket Reloaded, one of numerous other websites that have sprung up to take its place.

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